Lalie Hubert, une jeune enseignante désabusée, et Samuel Florent, un
séduisant mais irascible virtuose, sont les principaux protagonistes de
ce 7e opus qui se joue tel un concerto pour piano, crescendo.
Il commence sur quelques notes légères de Mendelssohn jusqu’à ce
qu’Alexis Duivel en personne doive intervenir pour reprendre la baguette
et imposer sa partition.
Hélas, c’est sans compter sur la sensibilité exacerbée des artistes qu’il a en face de lui.
Une seule fausse note, et le concert s’arrête.
Ahhhhhhh encore du grand, du très grand Angela Behelle.
La série "La société" est plus qu'une série de romans érotiques, c'est tellement bien écrit que c'est avant tout de beaux romans d'amour pour moi (avec beaucoup de sexe, certes, mais surtout de magnifiques romances). "La société" est très loin de tous ces livres érotiques qui inondent le marché depuis quelques temps. Angela Behelle ne tombe jamais dans la facilité, ni dans la vulgarité. Je suis fan depuis le tout premier tome et depuis j'attends à chaque fois le prochain tome et je n'ai jamais été déçu, bon hormis une fois, mais la plume de l'auteure ni été pour rien, c'est juste que je n'avais pas aimé le monde de l'échangisme, mais je l'avais tout de même lu en entier.
Bon pour en venir à ce tome en particulier.
Lalie est une jeune femme que j'ai adorée. Ne vous laissez pas berné par son apparence sage du début car une fois qu'elle commence à se dévoiler, nous découvrons une femme qui n'a aucune limite et un vécu très... particulier, mais ça je vous laisse le découvrir.
Samuel est un très grand et très célèbre pianiste, mais c'est surtout un homme colérique, exigent et qui s'emporte très vite et très facilement.
Samuel engage Lalie pour devenir l'institutrice personnelle de sa fille Manon, 7 ans, qui n'a jamais été scolarisé. C'est sa grand-mère paternel, Hélène, qui s'en occupait jusque là, mais la mamie aimerait récupérer son rôle de grand-mère et avoir un plus de temps pour elle.
Manon est une petite fille très intelligente et très observatrice qui a un gros manque de confiance et qui a toujours peur d'être abandonné par les gens qu'elle aime, tout comme sa mère l'a fait quelques mois après sa naissance.
Il y a aussi Margot, la grande tante de Lalie, une femme étonnante de 90 ans, qui a été pendant quelques années la prof de piano de Samuel.
Pour conclure, je crois que ce n'est pas un secret si je vous dit que j'ai adorée ce tome. Angela Behelle m'a à nouveau totalement envoutée et captivée. J'ai été dans l'impossibilité de le lâcher avant le point final, qui est arrivé trop tôt à mon goût. Ce tome fera partie de mes préféré et c'est...
un coup de cœur.
La série "La société" est plus qu'une série de romans érotiques, c'est tellement bien écrit que c'est avant tout de beaux romans d'amour pour moi (avec beaucoup de sexe, certes, mais surtout de magnifiques romances). "La société" est très loin de tous ces livres érotiques qui inondent le marché depuis quelques temps. Angela Behelle ne tombe jamais dans la facilité, ni dans la vulgarité. Je suis fan depuis le tout premier tome et depuis j'attends à chaque fois le prochain tome et je n'ai jamais été déçu, bon hormis une fois, mais la plume de l'auteure ni été pour rien, c'est juste que je n'avais pas aimé le monde de l'échangisme, mais je l'avais tout de même lu en entier.
Bon pour en venir à ce tome en particulier.
Lalie est une jeune femme que j'ai adorée. Ne vous laissez pas berné par son apparence sage du début car une fois qu'elle commence à se dévoiler, nous découvrons une femme qui n'a aucune limite et un vécu très... particulier, mais ça je vous laisse le découvrir.
Samuel est un très grand et très célèbre pianiste, mais c'est surtout un homme colérique, exigent et qui s'emporte très vite et très facilement.
Samuel engage Lalie pour devenir l'institutrice personnelle de sa fille Manon, 7 ans, qui n'a jamais été scolarisé. C'est sa grand-mère paternel, Hélène, qui s'en occupait jusque là, mais la mamie aimerait récupérer son rôle de grand-mère et avoir un plus de temps pour elle.
Manon est une petite fille très intelligente et très observatrice qui a un gros manque de confiance et qui a toujours peur d'être abandonné par les gens qu'elle aime, tout comme sa mère l'a fait quelques mois après sa naissance.
Il y a aussi Margot, la grande tante de Lalie, une femme étonnante de 90 ans, qui a été pendant quelques années la prof de piano de Samuel.
Pour conclure, je crois que ce n'est pas un secret si je vous dit que j'ai adorée ce tome. Angela Behelle m'a à nouveau totalement envoutée et captivée. J'ai été dans l'impossibilité de le lâcher avant le point final, qui est arrivé trop tôt à mon goût. Ce tome fera partie de mes préféré et c'est...
un coup de cœur.
Je ne connais cette saga que de nom et parce-que tu en parles souvent en disant que tu aimes! Merci pour ton avis :)
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